Le cercle vicieux du commérage au travail

Ah le commérage, difficile d’y échapper, et ce, même au boulot. Souvent inoffensives, ces conversations secrètes peuvent parfois rendre l’atmosphère du bureau toxique. Comment faire la différence entre ce que l’on peut partager ou non et comment éviter de sombrer dans le cercle vicieux du commérage?
Tout d’abord, il est essentiel de distinguer les différents types de commérages. Il y a les potins inoffensifs, qui, au contraire, ne font qu’accélérer la diffusion d’une bonne nouvelle, comme la promotion de votre voisin de bureau ou la grossesse d’une collègue. Dans ces cas-ci, c’est souvent l’excitation mal contenue d’une personne qui cause la propagation de ces bonnes nouvelles. Bien que les principaux intéressés auraient probablement souhaité annoncer le tout de vive voix, cette « rumeur » à leur sujet n’avait pas comme intention, au départ, de leur causer du tort. Cependant, le bureau étant un milieu compétitif où l’on côtoie une foule de personnalités différentes, il arrive que la jalousie et l’insécurité s’emparent de certains individus. Comment savoir si un secret ou une simple conversation sont nocifs?
• Dès qu’il s’agit d’une information discriminant ou rabaissant une personne ou un groupe de personnes en particulier.
• Dès qu’une information non fondée sur des aspects confidentiels de l’entreprise commence à circuler.
• Dès qu’il s’agit du point de vue d’une seule personne sur situation.
• Dès qu’il s’agit d’une situation insinuée par une personne ou un groupe de personnes.
En bref, le commérage devient toxique dès le moment où l’on s’attaque à l’aspect privé des employés ou de l’entreprise sans bien-fondés.
Qu’arrive-t-il lorsque ce genre de rumeurs commence à circuler? L’atmosphère générale s’envenime, des personnes sont mises à l’écart du groupe, des cliques de commères se forment. En fin de compte, la vie au bureau devient infernale pour les victimes. Parfois, la situation s’aggrave à un point tel où certains employés décident de changer d’emploi ou de départements. Avec de tels bouleversements, c’est la productivité générale de tous qui en souffre.
Comment éviter d’en arriver à ce point?
Avec quelques efforts, il est possible de rompre le cercle vicieux du commérage au bureau. Comme ces grands parleurs ont besoin d’un auditoire pour propager ces rumeurs, tenez-vous en loin et occupez-vous durant les périodes de pauses. Si, pour toutes sortes de raisons, vous vous retrouvez coincé à l’intérieur de ce cercle vicieux, tentez de transformer la rumeur en histoire positive. Pour éviter d’être vous-mêmes victime de rumeurs ou de commérage, évitez de parler de votre vie privée avec vos collègues. Dans ce même ordre idée, choisissez bien vos « amis » au bureau et assurez-vous d’établir un fort lien de confiance avec ces derniers.
Tout d’abord, il est essentiel de distinguer les différents types de commérages. Il y a les potins inoffensifs, qui, au contraire, ne font qu’accélérer la diffusion d’une bonne nouvelle, comme la promotion de votre voisin de bureau ou la grossesse d’une collègue. Dans ces cas-ci, c’est souvent l’excitation mal contenue d’une personne qui cause la propagation de ces bonnes nouvelles. Bien que les principaux intéressés auraient probablement souhaité annoncer le tout de vive voix, cette « rumeur » à leur sujet n’avait pas comme intention, au départ, de leur causer du tort. Cependant, le bureau étant un milieu compétitif où l’on côtoie une foule de personnalités différentes, il arrive que la jalousie et l’insécurité s’emparent de certains individus. Comment savoir si un secret ou une simple conversation sont nocifs?
• Dès qu’il s’agit d’une information discriminant ou rabaissant une personne ou un groupe de personnes en particulier.
• Dès qu’une information non fondée sur des aspects confidentiels de l’entreprise commence à circuler.
• Dès qu’il s’agit du point de vue d’une seule personne sur situation.
• Dès qu’il s’agit d’une situation insinuée par une personne ou un groupe de personnes.
En bref, le commérage devient toxique dès le moment où l’on s’attaque à l’aspect privé des employés ou de l’entreprise sans bien-fondés.
Qu’arrive-t-il lorsque ce genre de rumeurs commence à circuler? L’atmosphère générale s’envenime, des personnes sont mises à l’écart du groupe, des cliques de commères se forment. En fin de compte, la vie au bureau devient infernale pour les victimes. Parfois, la situation s’aggrave à un point tel où certains employés décident de changer d’emploi ou de départements. Avec de tels bouleversements, c’est la productivité générale de tous qui en souffre.
Comment éviter d’en arriver à ce point?
Avec quelques efforts, il est possible de rompre le cercle vicieux du commérage au bureau. Comme ces grands parleurs ont besoin d’un auditoire pour propager ces rumeurs, tenez-vous en loin et occupez-vous durant les périodes de pauses. Si, pour toutes sortes de raisons, vous vous retrouvez coincé à l’intérieur de ce cercle vicieux, tentez de transformer la rumeur en histoire positive. Pour éviter d’être vous-mêmes victime de rumeurs ou de commérage, évitez de parler de votre vie privée avec vos collègues. Dans ce même ordre idée, choisissez bien vos « amis » au bureau et assurez-vous d’établir un fort lien de confiance avec ces derniers.