L’ABC du recrutement à l’international

Cela fait plus de 6 mois que vous recherchez activement un pâtissier
pour votre complexe hôtelier en Mauricie. Affichage d’une offre d’emploi
sur plusieurs sites, annonce dans vos réseaux sociaux, visite dans les
écoles de restauration, participation aux foires de l’emploi… Malgré vos
démarches, vos efforts sont vains. Vous commencez donc à envisager le
recrutement international. Avant de vous lancer dans un tel processus,
je vous invite à prendre connaissance des différentes possibilités qui
s’offrent à vous.
Permis vacances-travail (PVT)
Le gouvernement fédéral offre chaque année 600 permis vacances-travail afin que des jeunes entre 18 et 35 ans, provenant de 32 pays partenaires, viennent travailler au Canada pour une durée maximale de 24 mois. Il est important de savoir que l’âge des participants ainsi que la durée du séjour varient selon les pays participants.
Avantages pour l’employé : Il n’a pas besoin de trouver un emploi avant son départ. Il peut changer d’emploi quand bon lui semble.
Avantage pour l’employeur : Aucuns frais.
Inconvénients pour l’employeur : Il faut que l’employé vous trouve, soit au courant que vous recherchez un employé. De plus, ce dernier peut vous quitter à tout moment, puisqu’il n’est pas lié par un contrat à durée déterminée.
Permis Jeunes professionnels (JP)
Quelque 2 300 permis Jeunes professionnels sont délivrés chaque année au Canada. Le JP permet aux jeunes entre 18 et 35 ans de venir travailler au Canada sur une période pouvant aller jusqu’à 24 mois. Contrairement au PVT, le Jeune professionnel exige du participant d’avoir une offre d’emploi signée avant de formuler sa demande.
Avantage pour l’employé : Lorsqu’on lui octroie un permis, il est assuré d’avoir un emploi.
Inconvénients pour l’employé : L’octroi des permis se fait par tirage au sort. De plus, s’il n’aime pas son travail, il est lié par un contrat.
Avantages pour l’employeur : Cette méthode ne coûte rien. Un contrat vous assure que l’employé restera dans votre organisation pour une durée déterminée. De plus, s’il aime son travail et le Québec, il peut faire une demande de nationalisation.
Inconvénient pour l’employeur : Votre problème de recrutement n’est pas réglé, puisque vous devez le trouver vous-même… ou qu’il vous trouve.
Processus conventionnel
Ce processus nécessite beaucoup de temps et d’argent. Il regorge également de subtilités. C’est pourquoi il est fortement suggéré de vous faire guider par un conseiller agréé en immigration ou un avocat spécialisé en immigration.
Les missions de recrutement à l’étranger ont la cote en ce moment. Des organisations de tous les secteurs d’activité y ont recours, notamment en restauration. Par exemple, Québec international chapeaute deux missions par année à Paris, mais aussi ailleurs dans le monde : Tunisie, Colombie, Mexique, Brésil…
Prenons une mission à Paris. Pôle emploi, l’équivalent d’Emploi-Québec, organise les Journées Québec. Québec international s’occupe de trouver des entreprises participantes, qui saisissent leurs offres d’emploi sur une plateforme Web. Puis, les candidats français se rendent sur ce site et déposent leur candidature. Pôle emploi s’occupe de la présélection des candidats. Ensuite, les entreprises québécoises se rendent à Paris. Pendant deux jours, elles rencontreront des candidats. Il ne reste plus qu’à croiser les doigts pour faire la connaissance du candidat idéal.
Ça y est, vous avez trouvé la perle rare. Avant de crier victoire… il reste deux étapes à entreprendre, qui prendront entre 3 et 4 mois, et vous coûteront environ 1 400 $ par candidat recruté.
Étape 1 : Vous devez faire une demande d’étude d’impact sur le marché du travail (EIMT) au gouvernement fédéral. Une EIMT favorable indique entre autres qu’aucun travailleur canadien n’est disponible pour faire le travail offert aux travailleurs étrangers.
Étape 2 : Vous devez également produire une demande au provincial où on évaluera différents éléments comme le diplôme du travailleur étranger et le salaire offert.
En résumé, recruter à l’étranger n’est pas une mince affaire. Vaut mieux se faire accompagner par des experts afin de ne pas perdre son temps et son argent.
Une petite précision en terminant : Cet article ne constitue pas une source d’information légale, mais plutôt une piste de réflexion concernant votre stratégie de recrutement. Pour en savoir plus sur le sujet, je vous invite à communiquer avec Québec international, où on saura bien vous guider.
Permis vacances-travail (PVT)
Le gouvernement fédéral offre chaque année 600 permis vacances-travail afin que des jeunes entre 18 et 35 ans, provenant de 32 pays partenaires, viennent travailler au Canada pour une durée maximale de 24 mois. Il est important de savoir que l’âge des participants ainsi que la durée du séjour varient selon les pays participants.
Avantages pour l’employé : Il n’a pas besoin de trouver un emploi avant son départ. Il peut changer d’emploi quand bon lui semble.
Avantage pour l’employeur : Aucuns frais.
Inconvénients pour l’employeur : Il faut que l’employé vous trouve, soit au courant que vous recherchez un employé. De plus, ce dernier peut vous quitter à tout moment, puisqu’il n’est pas lié par un contrat à durée déterminée.
Permis Jeunes professionnels (JP)
Quelque 2 300 permis Jeunes professionnels sont délivrés chaque année au Canada. Le JP permet aux jeunes entre 18 et 35 ans de venir travailler au Canada sur une période pouvant aller jusqu’à 24 mois. Contrairement au PVT, le Jeune professionnel exige du participant d’avoir une offre d’emploi signée avant de formuler sa demande.
Avantage pour l’employé : Lorsqu’on lui octroie un permis, il est assuré d’avoir un emploi.
Inconvénients pour l’employé : L’octroi des permis se fait par tirage au sort. De plus, s’il n’aime pas son travail, il est lié par un contrat.
Avantages pour l’employeur : Cette méthode ne coûte rien. Un contrat vous assure que l’employé restera dans votre organisation pour une durée déterminée. De plus, s’il aime son travail et le Québec, il peut faire une demande de nationalisation.
Inconvénient pour l’employeur : Votre problème de recrutement n’est pas réglé, puisque vous devez le trouver vous-même… ou qu’il vous trouve.
Processus conventionnel
Ce processus nécessite beaucoup de temps et d’argent. Il regorge également de subtilités. C’est pourquoi il est fortement suggéré de vous faire guider par un conseiller agréé en immigration ou un avocat spécialisé en immigration.
Les missions de recrutement à l’étranger ont la cote en ce moment. Des organisations de tous les secteurs d’activité y ont recours, notamment en restauration. Par exemple, Québec international chapeaute deux missions par année à Paris, mais aussi ailleurs dans le monde : Tunisie, Colombie, Mexique, Brésil…
Prenons une mission à Paris. Pôle emploi, l’équivalent d’Emploi-Québec, organise les Journées Québec. Québec international s’occupe de trouver des entreprises participantes, qui saisissent leurs offres d’emploi sur une plateforme Web. Puis, les candidats français se rendent sur ce site et déposent leur candidature. Pôle emploi s’occupe de la présélection des candidats. Ensuite, les entreprises québécoises se rendent à Paris. Pendant deux jours, elles rencontreront des candidats. Il ne reste plus qu’à croiser les doigts pour faire la connaissance du candidat idéal.
Ça y est, vous avez trouvé la perle rare. Avant de crier victoire… il reste deux étapes à entreprendre, qui prendront entre 3 et 4 mois, et vous coûteront environ 1 400 $ par candidat recruté.
Étape 1 : Vous devez faire une demande d’étude d’impact sur le marché du travail (EIMT) au gouvernement fédéral. Une EIMT favorable indique entre autres qu’aucun travailleur canadien n’est disponible pour faire le travail offert aux travailleurs étrangers.
Étape 2 : Vous devez également produire une demande au provincial où on évaluera différents éléments comme le diplôme du travailleur étranger et le salaire offert.
En résumé, recruter à l’étranger n’est pas une mince affaire. Vaut mieux se faire accompagner par des experts afin de ne pas perdre son temps et son argent.
Une petite précision en terminant : Cet article ne constitue pas une source d’information légale, mais plutôt une piste de réflexion concernant votre stratégie de recrutement. Pour en savoir plus sur le sujet, je vous invite à communiquer avec Québec international, où on saura bien vous guider.