Ce que le recruteur veut vraiment savoir

Les recruteurs posent souvent les mêmes questions lors des entretiens
d’embauche, peu importe le poste à pourvoir. Mais que cherchent-ils
vraiment à savoir ? Une experte en recrutement partage quelques-uns de
ses secrets.
Selon Marie Nolwenn Trillot, présidente de la firme de recrutement et de placement TOTEM, les recruteurs sont surtout curieux de connaître les raisons pour lesquelles le candidat est à la recherche d’un nouvel emploi. Cette question sera inévitable en entrevue d’embauche tant elle donne de l’information sur la personnalité et les ambitions du postulant. « Le recruteur est toujours un peu méfiant de nature, dit-elle. On veut savoir à qui on a affaire et ce qu’il s’est passé pour que la personne se retrouve en face de nous. »
Les recruteurs s’intéressent également à ce qui motive le candidat dans l’emploi annoncé. « On veut voir sa préparation : s’il a fait des recherches, s’il a bien compris l’énoncé du poste et s’il a élaboré de bonnes questions », explique Marie Nolwenn Trillot.
Des faux pas
D’ailleurs, le manque de préparation serait l’une des fautes les plus fréquentes. Pourtant, les recruteurs y accordent une attention particulière au point qu’elle surpasse parfois l’expérience. « Une personne préparée est un bon indicateur d’un candidat sérieux et motivé », souligne la présidente.
En savoir plus | journaldemontreal.com
Selon Marie Nolwenn Trillot, présidente de la firme de recrutement et de placement TOTEM, les recruteurs sont surtout curieux de connaître les raisons pour lesquelles le candidat est à la recherche d’un nouvel emploi. Cette question sera inévitable en entrevue d’embauche tant elle donne de l’information sur la personnalité et les ambitions du postulant. « Le recruteur est toujours un peu méfiant de nature, dit-elle. On veut savoir à qui on a affaire et ce qu’il s’est passé pour que la personne se retrouve en face de nous. »
Les recruteurs s’intéressent également à ce qui motive le candidat dans l’emploi annoncé. « On veut voir sa préparation : s’il a fait des recherches, s’il a bien compris l’énoncé du poste et s’il a élaboré de bonnes questions », explique Marie Nolwenn Trillot.
Des faux pas
D’ailleurs, le manque de préparation serait l’une des fautes les plus fréquentes. Pourtant, les recruteurs y accordent une attention particulière au point qu’elle surpasse parfois l’expérience. « Une personne préparée est un bon indicateur d’un candidat sérieux et motivé », souligne la présidente.
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